Critique de l'album dans "The Guardian" (11.04.2013)

Très bonne critique de l'album dans le Guardian d'hier

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Romain a écrit:

Très bonne critique de l'album dans le Guardian d'hier

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Après les 4 étoiles de MOJO, ça s'annonce très bien pour l'Angleterre, comme pour "Tant de belles choses" en 2005.

quelqu'un pourrais-t'il traduire l'idée générale de l'article paru dans the gardian

[quote="71coline"]quelqu'un pourrais-t'il traduire l'idée générale de l'article paru dans the gardian[/quote]



Dieu sait quelles grimness Google Translate aurait causer sur l'album 27 de Françoise Hardy, qui
est entièrement en français. Il est dense avec les mots, les deux parlée et chantée, comme il sied à un enregistrement qui a été conçu comme une « bande originale » un roman, également intitulé l'Amour Fou. Album et livre se plonger dans l'attraction de Hardy à ce que vous pourriez appeler mal ' uns et ce n'est pas nécessaire de comprendre chaque phrase de savoir ce qui se passe. Frustration et mal paraître identique dans n'importe quelle langue, mais ils ont rarement été exprimés aussi séduisant que dans ces ballades tendus et élégants. La chanson-titre ouvre la procédure : accompagnés au piano bar à cocktails, Hardy sonne le fatigués et impitoyable, rappelant Marianne Faithfull Broken English. La piste suivante, Les Fous de Bassan, est une contradiction directe : c'est onirique, presque littéralement, avec le chanteur dérive à travers un paysage nocturne de lointaines percussions et cordes, couvaison sur «une nuit sans lune». Dès lors, les arrangements changement subtilement de la
chanson à, mais l'humeur – résigné, philosophique – reste constante. Hardy exprime des sentiments universels, mais son Frenchness est la clé pour les délices de l'album.

Merci Dick

Essai sans google…

"Qui sait le désespoir que pourrait causer Google Traduction avec le 27è disque
de Françoise Hardy qui est tout en français ?
Les paroles sont denses chantées et parlées
seyant bien à un disque conçu comme la bande-son d'un roman,
également intitulé "L'amour Fou." Tous les deux, le disque et le roman,
approfondissent l'attirance de Hardy à ce que vous pourriez appeler les mauvaises unions ,
et ce n'est pas la peine de comprendre chaque phrase pour comprendre ce qui se passe dans une chanson.
La frustration et la douleur ont le même sens dans n'importe quelle langue,
mais ces émotions ont rarement été exprimées avec autant de séduction
que dans ces ballades tendues et élégantes.
Tout commence avec la chanson-titre du disque:
accompagnée par un piano – très piano bar – Hardy semble fatiguée et
impitoyable, et rappelle la Marianne Faithful chantant "Broken English."
La chanson suivante, Les fous de Bassan, est un contraste direct avec la
précédente : c'est onirique, comme si la chanteuse dérivait en traversant un
paysage nocturne, avec les percussions et les cordes lointaines, dans une nuit sans
lune. Dès lors, les orchestrations fluctuent subtilement d'une chanson à
l'autre, mais l'humeur, résignée et philosophique, reste constante. Hardy
exprime des sentiments universels, mais son aspect français est la clé des délices que procure
ce disque."