PROMOS DU LIVRE

Françoise sur le plateau de Sophie Davant ce matin.
Bien, les animateurs de l'émission semblaient avoir lu le livre et être plutôt fans.

pPierre Lefevre a écrit:

Françoise sur le plateau de Sophie Davant ce matin.
Bien, les animateurs de l'émission semblaient avoir lu le livre et être plutôt fans.

Oh mince, j'ai loupé l'émission alors que je la regarde souvent !

Pour en revenir à l'article de LIBERATION dont tu nous parlais hier, Pierre, en voici le copier/coller :


Singes et signes



CLAIRE DEVARRIEUX




Françoise Hardy Le Désespoir des singes… et autres bagatelles Robert Laffont, 390 pp., 21 euros.
Une gamine élevée chez les sœurs, bachelière à 16 ans, sage comme une image de ce temps-là, s’enferme dans la cuisine avec sa guitare pour composer des chansons : «Le carrelage permettait un retour de voix favorable à l’inspiration.» La guitare lui a été donnée par son père. Elle le voit trois fois par an, Noël, Pâques, la Pentecôte, lorsqu’il vient déjeuner chez les grands-parents. Ce sont des gens modestes, il est d’une autre classe. Il n’a pas reconnu Françoise (née en 1944), ni sa sœur Michèle (née en 1945), il le fera avant de mourir, leur léguant sa fortune et la révélation de son homosexualité. Il est brouillé avec leur mère, l’intransigeante Madeleine Hardy. La famille est logée dans un deux-pièces de la rue d’Aumale à Paris.
Karma.Le 25 avril 1962, Françoise Hardy enregistre son premier 45 tours. Vogue, la maison de disques, et les stations de radio misent sur J’suis d’accord, une ritournelle guillerette : «J’suis d’accord pour le cinéma /Pour le rock, le twist ou le cha-cha / J’suis d’accord pour tout c’que tu voudras / Mais ne compte pas sur moi pour aller chez toi.» Elle-même préfère l’autre face. Avec la ténacité des timides, elle se bat pour Tous les garçons et les filles : «Tous les garçons et les filles de mon âge / Se promènent dans la rue deux par deux […] Et les yeux dans les yeux / Et la main dans la main / Ils s’en vont amoureux / Sans peur du lendemain / Oui mais moi, je vais seule / Dans les rues, l’âme en peine / Oui mais moi, je vais seule / Car personne ne m’aime.» Françoise Hardy «parolera» souvent l’air de ses amours sous cet angle, comme Marguerite Duras dont elle apprécie Lol V. Stein : un trio, deux figures triomphantes observées par une troisième, séparée.
Toujours dans la cuisine de la rue d’Aumale, elle entend sa chanson à Salut les copains, la nouvelle émission de Filipacchi sur Europe 1. Elle a 18 ans. Vingt mille exemplaires du disque s’arrachent avant la fin de l’été. Un an après, elle en a vendu un million.
«Quand je regarde en arrière, je me dis que, tout au long de ma vie, les choses m’auront été mystérieusement facilitées.» Comment Françoise Hardy ne s’intéresserait-elle pas au karma, aux vies antérieures et à la bonne étoile ? Comment la «triste incarnation de l’ordre et de la discipline» qu’elle était hier encore pour faire plaisir à sa mère adorée, et qui l’adorait aussi, ne chercherait-elle pas à déchiffrer les signes de son incroyable succès ? Pourtant, ce ne sont pas les lignes de chance qu’elle guette dans son ciel natal. Françoise Hardy, plus tard promue star de l’astrologie, va passer sa vie à essayer de comprendre pourquoi l’agencement des constellations la «prédisposait à aller au-devant des frustrations».
La frustration a un nom : Jacques Dutronc. Après trente ans de vie commune, elle continue de se demander pourquoi ils n’ont pas la même conception de la conjugalité. Elle voit des rivales partout (Vartan, Romy Schneider, Rampling, Bambou…). Il met un temps fou à faire un pas vers elle, à s’installer sous le même toit. Lui aussi aime sa mère. Quand ils emménagent dans la maison qu’elle a trouvée, il continue de fuir. Il est alcoolique, elle ne le voit pas. Elle ne peut pas s’endormir avant qu’il rentre, ce qui est déraisonnable. Ils ont un enfant, Thomas. Elle continue de s’interroger.
La voyante du quartier n’est d’aucun secours sur la fiabilité du partenaire. Françoise Hardy ne croit pas à cette astrologie-là, prédictive, abusive, mais elle ne peut pas s’empêcher de consulter toutes les sorcières de la terre ; elle a des copines pour l’entraîner dans des escapades absurdes, avec transes et sacrifices aux divinités. Voilà qui la fait rire. Dutronc aussi la fait rire. Et tellement souffrir. Est-il fidèle, ou est-ce l’effet de sa colossale force d’inertie ? Elle enregistre, chez son «drôle de mari», une «indifférence apparente au fait que nous soyons ou non dans la même chambre ou le même lit».
Non seulement Françoise Hardy n’est à aucun moment mesquine, mais elle conserve intacte l’aura de Jacques Dutronc. Les lecteurs (ils sont nombreux : 180 000) ne sont jamais mis dans l’embarras d’un aveu ou d’une indiscrétion. Le Désespoir des singes (nom d’arbre et allusion à un état familier) est d’une élégance parfaite. L’objectif est de transmettre une forme de sagesse. Quand on prétend tout donner à l’être aimé, n’est-ce pas la forme la plus achevée de l’égoïsme ? N’est-on pas responsable des blessures que les autres nous infligent ? Ce genre d’observations.
Défilé.Une conférence lacanienne abstruse détourne Françoise Hardy de la psychanalyse. Question de milieu, peut-être, de «conditionnement». Elle rappelle son origine populaire (côté maternel), la même pour Dutronc ou Johnny Hallyday, qui n’est pas celle de la génération suivante, Julien Clerc ou Michel Berger. Elle cherche vers la psychologie, la spiritualité, la graphologie, une explication à son mal-être. Certains lisent son livre pour savourer ses malheurs, les amours difficiles, la folie familiale, les atteintes de la maladie, ou s’y reconnaître.
D’autres découvrent la rigueur d’une professionnelle inspirée et les arcanes d’un métier plus collectif qu’on ne croit. Enfin, d’un chic absolu, ce défilé : Mireille et Emmanuel Berl, Patrick Modiano, André Courrèges et sa femme Coqueline, Dominique Aury, Dali, Stockhausen, Mick Jagger, les Pompidou, Michel Houellebecq.


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"...le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard..."

pPierre Lefevre a écrit:

Françoise sur le plateau de Sophie Davant ce matin.
Bien, les animateurs de l'émission semblaient avoir lu le livre et être plutôt fans.

On peut éregarder l'entrevue au lien suivant: http://cestauprogramme.france2.fr/index-fr.php?page=accueil

Merci Igredouce ! Je devais également donner le lien, mais tu l'as fait avant moi ...

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"...le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard..."

Merci Michel pour l'interview et Igredouce pour le lien.
La promo continue et le livre par là mème, va encore se vendre.

pPierre Lefevre a écrit:

Françoise sur le plateau de Sophie Davant ce matin.
Bien, les animateurs de l'émission semblaient avoir lu le livre et être plutôt fans.

Je trouve que Françoise chez Sophie Davant est tout à fait délicieuse et très détendue car elle se sent dans un environnement pas du tout hostile, ils sont tous charmants avec elle et même on sent beaucoup d'admiration de leur part, notamment de S Davant, ça m'a enchanté

effectivement très bon moment de TV, Françoise très détendue

Merci pour le lien: j'ai vraiment trouvé françoise en grande forme et très séduisante avec ses cheveux coupés très court un peu comme dans l'émission tv présentée par j. lepers qui lui était entièrement consacrée et où elle avait interprété les nouvelles versions de " Je ne suis là pour personne " et " Les petits garçons "

Laurent a écrit:

[/url] [url=https://servimg.com/view/11791517/3629]

Bah elle a fait un truc à ses cheveux ou quoi ?!?
On dirait la barbe du père noel des Galeries Lafayette

Romain a écrit:

Laurent a écrit:

[/url] [url=https://servimg.com/view/11791517/3629]

Bah elle a fait un truc à ses cheveux ou quoi ?!?
On dirait la barbe du père noel des Galeries Lafayette

ha!ha!!!! je me disais la meme chose!!! vraiment, je ne suis pas fan de ce look, y'a rien a faire! mais à part ça , quel plaisir de la voir si detendue et souriante...

Belle émission, en effet ! J'ai trouvé FH très décontractée, sûre d'elle, bien dans sa tête ... Par contre, je n'aime pas, non plus, ses cheveux trop courts, surtout de face ! De profil, par contre, ça passe très bien ...

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"...le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard..."

C'est le devant de sa coiffure qui ne va pas : la grande mèche à droite sur la photo, j'aime pas du tout.

Bah elle a fait un truc à ses cheveux ou quoi ?!?
On dirait la barbe du père noel des Galeries Lafayette


....... parce que la barbe du père Noël du Printemps c'est plutôt comme les cheveux de Moustaki ?

Anne a écrit:

....... parce que la barbe du père Noël du Printemps c'est plutôt comme les cheveux de Moustaki ?

Non mais en fait on dirait qu'on lui a fichu une moumoutte sur la tête , de visu comme ça , ça a l'air d'avoir la même texture que les barbes de père-noels.
Mais j'extropole peut etre

Pas mal du tout cette itv dans l'émission de Sophie Davant....
merci pour le lien...J'ignorais ce passage TV ...

Il ne faudra pas rater l'émission de samedi prochain ( 13 décembre ) consacrée à Jean-Marie Perrier... Françoise dit qu'elle est "bien réalisée et donc correctement structurée, bien éclairée, les archives sont formidables, il y a des idées..."

et ne pas oublier "Empreintes " vendredi 12 sur France 5..

Encore 2 moments de bonheur en perspective...!!!!

180 000 exemplaires !
Vous imaginez qu'elle va finir par vendre plus de bouquin que de disques ?
La barbe du Père Noël : moi je l'aime bien comme ça, pas apprêtée, toute simple, en tous les cas pas star pour deux sous et en tous cas pas prête de se faire lifter, permanenter, peroxyder.
Simple, sympa, proche, bref adorable et un rien flirteuse avec le jeune chroniqueur (ce qu'elle n'avait pas voulu être avec Palmade chez Dumas).

Oui, Claude, son livre est un best seller et elle va en vendre encore.

180 000 ex, c'est un chiffre officiel ? Où le trouve-t-on? C'est super et je pense que ce n'est pas teminé

Je l'avais dit : cette photo est plus vendeuse que la première initialement choisie.
Si vous regardez dans les rayons, et même si c'est du noir et blanc, cette couverture "accroche" incroyablement la lumière.

CLAUDE a écrit:

Je propose qu'on donne le nom et l'adresse de cette journaliste canadienne a Anna afin qu'elle aille, depuis Vancouver, lui régler son compte.
A mon avis elle n'a pas lu le livre (sait elle lire ?) sinon elle ne parlerait pas de l'impossibilité de JD de satisfaire les désirs de FH, ce n'est pas ce qu'elle dit et redit.
Et puis comment prendre au sérieux une journaliste qui n'a même pas un bateau, juste un canoë.
Et tu as raison Pierre, ce livre est effectivement sulfureux, du soufre des enfers où je voue JD à tout jamais.

J’ai ete a Montreal le week-end dernier. Pas de livre de Francoise dans les librairies! Rien ! What the hell ???
C’est bizarre…
Les Quebecois ils ne savent meme pas ce qu'ils veulent pour leur propre pays encore moi ce qu'ils attendent de Francoise….
D’ailleurs personnellement je m’en fiche ce que les journalistes écrivent sur le bouquin.
Meme si Francoise a dit elle-même qu’elle rassemble toutes les revues .

Il n'y a rien à critiquer ici. Et t’as raison Claude – particulierement si on n’a pas lu..
Alors si quelqu’un trouve addresse de domicile de cette Manon Nobody avec le cerveau congele (l’hiver est tres severe au Quebec)sur le canoe ou paquebot je le chercherai


anna

Cette inteview brève de fin Octobre 2008, en provenance de Belgique, extraite de ACTU 24 ...

Françoise Hardy en voyage intérieur INTERVIEW | Le désespoir des singes est le nom donné à un arbre aux piquants acérés. C'est aussi le titre de l'autobiographie de Françoise Hardy. Rencontre avec les clefs de sa vie. Interview : Dominique WAUTHY E lle est filiforme et semble glisser plutôt que marcher. Françoise Hardy, c'est une voix particulière et une silhouette gracieuse. Son autobiographie, Le désespoir des singes... et autre bagatelles, elle l'a écrite avec sincérité et sans fausse pudeur. Soignant son écriture comme celle de ses chansons. Vous aviez des craintes de raconter et d'exposer ainsi toute votre vie? Je me suis laissée convaincre par mon éditeur. J'ai soigné la forme pour exprimer mon ressenti tout au long de ces 400 pages. Cela représente 15 mois d'écriture. Comme pour un disque, c'est un véritable accouchement qui n'est pas toujours facile. C'était même parfois franchement ennuyeux quand la page restait blanche. Quel genre de femmes êtes-vous? Je ne suis pas une femme de pouvoir. Je déteste les extrémismes et la violence. J'ai connu deux grands désirs dans ma vie. Celui d'avoir un enfant et celui d'enregistrer des disques. J'ai eu le privilège de vivre de la chanson. Aujourd'hui, je suis à l'âge des bilans. Je me réjouis de goûter au verre à moitié plein et d'avoir trouvé un équilibre. Je peux dire qu'entre 40 et 50 ans, j'ai connu mes plus belles années. Il est beaucoup question de souffrances dans le récit de votre vie? Je ne savais pas aimer. Je me mentais à moi-même. J'ai toujours voulu me rendre indispensable. J'ai toujours attendu... Mais vous savez, la blessure amoureuse c'est un luxe! Perdre un enfant, c'est un vrai drame. Votre vie de couple avec Dutronc a été chaotique. Quel regard portez-vous sur elle? Je n'ai pas de regret. Quant à la manière dont les choses se sont passées, je ne pouvais pas faire autrement. Quelles sont vos chansons préférées? C'est difficile de choisir. Mais j'ai toujours besoin de réécouter Michel Berger. Seras-tu là et Quelques mots d'amour me touchent particulièrement. Beaucoup de personnes de votre entourage ont brutalement disparu. Comment conciliez-vous joies et peines? Je trouve beaucoup d'apaisement dans la nature. C'est d'ailleurs ici à Bruxelles, lors d'un enregistrement durant une période difficile de ma vie, que j'ai trouvé la quiétude à travers des balades qui sont devenues une forme de méditation. C'était autour de l'abbaye de la Cambre. Il est d'ailleurs question d'arbres dans le titre et la conclusion. Je suis une vraie Parisienne, mais à 20 ans j'étais déjà écologiste. Quand je me promène au parc de Bagatelle, je salue régulièrement quatre arbres dont je me suis instituée l'amie. Sans doute des restes de mes origines celtiques... Entre vous, Jacques Dutronc et votre fils Thomas, le lien semble très fort? Bien sûr. Jacques a été et reste un excellent père. Il a toujours fait preuve de beaucoup de patience. Si Thomas est très ouvert, Jacques et moi sommes plutôt des solitaires. Françoise Hardy, «Le désespoir des singes... et autres bagatelles», Robert Laffont.

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"...le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard..."

J’ai ete a Montreal le week-end dernier. Pas de livre de Francoise dans les librairies! Rien ! What the hell ???
C’est bizarre…
Les Quebecois ils ne savent meme pas ce qu'ils veulent pour leur propre pays encore moi ce qu'ils attendent de Francoise….
D’ailleurs personnellement je m’en fiche ce que les journalistes écrivent sur le bouquin.
Meme si Francoise a dit elle-même qu’elle rassemble toutes les revues .

Il n'y a rien à critiquer ici. Et t’as raison Claude – particulierement si on n’a pas lu..
Alors si quelqu’un trouve addresse de domicile de cette Manon Nobody avec le cerveau congele (l’hiver est tres severe au Quebec)sur le canoe ou paquebot je le chercherai


anna[/quote]
Dis donc Anna, mais tu es partout, un vrai globe-trotter. La prochaine fois que tu passes par Montyréal, laisse-le moi savoir, j'aurais aimé te rencontrer.
Cela dit, je te trouve un peu sévère envers les québecois.
Il faut savoir que Françoise est connue et respectée ici par les gens de ma génération, c'est-à-dire ceux qui l'ont connue dans les années soixante, mais la jeune génération ne la connait pas vraiment. En plus, pour le 'Désespoir"... il y a eu ZERO publicité ici, la maison Laffont a fait que dalle. Résultat: le livre est passé inaperçu. Christiane Charette en a parlé ( excellente entrevue avec Françoise sur radio-canada), mais malheureusement c'était au lendemain de la sortie du livre en France....et plus d'un mois avant sa sortie ici . Ce qui fait que quand le livre est sorti ici, personne n'en a parlé( à part cette Manon Guilbert) .
Mais ce n'est pas vrai qu'il est introuvable ici, il est dans les "coups de coeur" chex Renaud Bray et chez Archambault, les 2 plus grands libraires de Montréal. Et je pense que la donne va changer quand les bilans des meilleures ventes de l'année en France vont sortir. Là je pense que ça va débouler ici, enfin je l,espère .
Pour ce qui est de Manon Guilbert, ne t'inquiète pas , je suis déjà à sa recherche depuis son article. Malheureusement elle semble introuvable. Elle était avant au 'Journal de Montréal", mais depuis quelques temps elle semble être pigiste sur Canoe, qui est un journal virtuel. alors difficile de la localiser, mais je peux toujours lui envoyer une lettre d'insultes de la part de tout le monde.

Puisque l'on n'est jamais mieux servi que par soi-même, ce sera à vous tous de convaincre Françoise, lors de la prochaine séance de dédicaces, de venir présenter elle-même son livre ici, je suis sûre qu'elle aurait un succès fou. On a beau dire , mais la promotion c'est quand même important.

Dear igredouce,

effectivement peut-etre j'ai ete un peut trop dur avec mes amis Quebecois – en fait j'aime beaucoup Montreal donc j'ai ete decu de ne pas trouve le livre de Francoise (je n'ai pas vraiment vu chez Archambault...hmmm).

En tout cas – tu as raison que c'est parce que il n ya pas aucun promotion prevu au Canada – c'est dommage mais je pense aussi que Francoise a peur de voyager aussi... Meme si elle m'a dit pendant la derniere dedicace a Paris qu'elle gardait un très beau souvenir de Quebec en 2005. Elle etait vraiment heureuse d'apprendre que je suis venu du Canada pour le voir.
Esperons qu'elle sera en bonne sante et viendra peut-etre pour la promotion de la prochaine album. On se rencontrera alors en 2009! A Montreal! Reunion Totally Hardy International.