Interview audio de Thomas Dutronc

Intéressante interview de Thomas à écouter sur :

http://www.djangostation.com:80/jazzmanouche.php?article705

(Itv consacrée principalement à Django Reinhardt et au jazz manouche. Il parle plutôt bien, est agréable à écouter...comme Maman ...et avec quelques intonations de Papa...)

Personnellement, je trouve que Thomas parle beaucoup plus comme papa que comme maman.

Comme papa, chez Thomas il y a beaucoup de phrases inachevées, de "j'sais pas" (une vingtaine en 15 minutes), de mots répétés, de euh...

Alors que maman est très respectueuse du phrasé, de la synthaxe, de la recherche des mots justes, entrecoupés de délicieux éclats de rires...

Ceci dit, je trouve qu'il s'est déjà un peu amélioré par rapport à ses débuts. En tout cas, on sent qu'il est vraiment passionné par le jazz manouche ! Sait-il parler d'autres choses ?

Thomas est un grand timide. Il s'exprime, mieux que papa, malgré tout mais pas aussi bien, que maman.
Laurent, j'aimerais aussi entendre, de temps en temps, Thomas, s'exprimer sur d'autres sujets. Malgré tout, il nous a parlé des artistes, qu'il avait commencé, par écouter, avant le jazz manouche.
On ne lui laisse, peut ètre, pas parler de ses autres centres d'intérèt.
Il avait joué au cinéma mais apparemment ça ne le branche, pas trop.

En effet, cette interview de Thomas est intéressante. Il parle avec passion du jazz manouche et de Django Reinhardt qu'il adule au plus haut point. S'il semble chercher ses mots, ses phrases, c'est tout simplement parce qu'il est très timide aussi, et je le comprends, le rejoins dans ce sens, car j'ai tendance à être comme ça aussi !!!

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"...c'est peut-être l'instant que je préfère
le moment que malgré tout j'espère
où tout pourrait basculer soudain
où la vie pourrait changer enfin
alors ne dis rien
alors ne fais rien..."

michel bh a écrit:

S'il semble chercher ses mots, ses phrases, c'est tout simplement parce qu'il est très timide.

Sa maman aussi est timide, mais elle a acquis une belle assurance, et ses interviews sont toujours un vrai régal !

Pour confirmer vos impressions, ce matin dans "Télé matin" (eh oui, Laurent, je suis encore plus ringard que ce que tu croyais) il y a eu une "chronique" sur le jazz manouche qui devient de plus en plus à la mode et bien sûr l'interviewé c'était......gagné : le fils à ses parents.
Peut être qu'un jour on lui demandera de parler d'autre chose, mais de quoi? car il semble ne faire que ça et n'avoir d'avis que sur ça. Ceci dit, il en parle très bien et j'ai trouvé,ce matin, de manière très pertinente. Mais peut être est-ce dû au fait qu'il était 7H45 et que mon deuxième neurone ne s'était pas encore déplié !

Oh zut j'ai raté le fils à ses parents sur Télé Matin (trop tôt, pour moi, trop tôt...)

J'en profite pour, une fois de plus, vous recommander la chronique de Jean-Pierre Coffe, qui nous présentait ce matin...... Le Jambon ! A mourir de rire...

http://www.radiofrance.fr/franceinter/chro/ete2007/permettezmoi/

Contrairement à celle sur l'abricot, point de Françoise dans cette chronique, car elle ne chante pas :

"Etonnez-moi Benoit, mangez deux ou trois jambons,
"Benoit, des abricots et des poires....."

Thomas a hériter de sa maman ,qui etait un peu trop timide a ses débuts.

Et puis pas facile d'étre le fils de 2 grandes vedettes .

ce que j'ai aimais ,c'etait sur france3,a la brocante un samedi ou thomas,parlait de guitare.

Et a fini par dire que sa maman ,jetais tous ce qui etait vieux,"entre parenthéses un sous-main qui avait appartenu ,a son grand-pére"

Thomas Dutronc, « érotomane et gourmand »
Le Barbue d'Anvers. Voilà un nom de restaurant qui sied parfaitement à un jeune homme qui se définit lui-même comme « érotomane et gourmand ». Volubile et charmeur, Thomas Dutronc s'est confié hier, juste avant de se produire à la Fnac.


PAR VIRGINIE CARTON ET LAURENT WATIEZ lille@lavoixdunord.fr
PHOTO KARINE DELMAS
Il s'excuse d'emblée. La veille au soir, il a fêté l'anniversaire de sa mère au restaurant et il est, comment dire, un peu fané. « J'ai fait un lavage d'estomac au champagne », ironise le fils de Françoise Hardy, en digne héritier de son « prince sans rire » de père. La ressemblance est troublante : même regard bleu tendre, mèche désinvolte (mais comment font-ils ?) et l'humour érigé en art de vivre. Voici Thomas Dutronc, 34 ans, guitariste de talent et désormais chanteur à succès. Sorti il y a maintenant trois mois, Comme un manouche sans guitare imprime la marque de fabrique du « petit » Dutronc, légère et distanciée. Point de cynisme, mais une manière d'aborder la vie avec une sorte d'ironie bienveillante.
Gamin, il ne faisait pas vraiment attention aux amis célèbres qui venaient dîner chez ses parents, dans la maison toute noire de la rue Hallée, dans le XIV e. Sauf Serge Gainsbourg. « C'est lui qui m'a fait boire du champagne pour la première fois, à 11 ans, se délecte encore Thomas. Il m'a passé une coupe sous la table. Quand je suis sorti dans la rue, j'étais un peu entamé et j'ai dit : comme je comprends papa !
» À l'époque, Jacques ne lésine pas sur les plaisirs, démarrant à 11 h pour revenir le soir, « quand même souvent un peu chaud ». De cette ambiance chaleureuse et hors normes, Thomas Dutronc a gardé le goût des virées entre potes et le souvenir d'une mère « faisant les courses et préparant les repas ». Un détail qui continue de l'étonner encore aujourd'hui. Bavard et passionné, il se raconte sans fard, passe en revue ses enthousiasmes, pour le jazz manouche, Django Rheinardt, Georges Brassens, les Corses... « Ils me plaisent pour leur côté anachronique et différent », précise le titi pas vraiment à l'aise dans une société « où l'on ne prend pas assez le temps de la réflexion, de la sagesse. C'est toujours la course en avant ». Dans J'aime plus Paris, Thomas évoque la nostalgie du temps d'Audiard, remplacé par celui d'Hédiard. Et conseille à Delanoë « d'aller construire une arche ». « À gauche, c'est une des personnalités que j'aime le plus », dévoile celui qui se définit comme « à l'extrême centre ». Il a aimé le débat entre Ségolène Royal et François Bayrou, lui, le féru de sciences : « J'avais envie de trouver une solution mathématique au problème politique. Mais c'est impossible. » Le voilà embarqué sur Carla Bruni, dont il goûte peu la présence au sommet de l'État, le cinéma, auquel il a brièvement tâté avant d'y renoncer (« Il fait trop froid sur un plateau »), les séries télé américaines qu'il dévore... Aucun sujet ne le dérange et, s'il le faut, une pirouette le tirera d'affaire. Le moment de la journée qu'il préfère ? « Les vacances. » Le lieu ? « Boire un coup, et le lit. » Le tout asséné dans un sourire assassin, avec l'assurance de celui qui n'a pas franchement besoin de ramer avec les filles. Il en convient volontiers du reste, quand il y en a une qui passe, « le scanner se met en route. J'aime la féminité, je suis un peu érotomane. C'est peut-être pour ça aussi que j'ai choisi la guitare, pour le côté fétichiste ». La relève est assurée. •
> En concert le 16 avril, à 19 h 30, avec Pauline Croze, à la salle Vauban de Lille Grand Palais. 27 E.


Les rédactions de La Voix du Nord
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Plus j'écoute son disque et plus je l'aime, il y a des passages franchement formidable, au début j'avais peur que mon admiration pour sa mère m'influence mais maintenant je trouve vraiment ce cd génial

Thomas Dutronc est l'invité de l'émission "thé ou café" samedi matin à 7 h 00.

AMALRIC a écrit:

Plus j'écoute son disque et plus je l'aime

plus je l'écoute, et plus je l'aime aussi ! Thomas Dutronc est promis à un bel avenir, il a beaucoup de talent ... Sa maman doit en être fière, son papa aussi !

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"le parfum sucré de vos roses
s'évapore et moi je compose
vous ne m'aurez jamais donné
que le baiser du condamné."