J'ai toujours, moi aussi, été très touché par cette chanson qui est et reste une de mes préférée de Françoise: elle sonne presque comme un aveu, une confession, je trouve Françoise si humble, presque fataliste. Et en mai 1977, quand cette chanson est parue, je pensais que c'était un "chant du cygne".
Alors, merci à toi, Erik.